« Une étrange famille humaine », le livre
Une étrange famille humaine
être poème dans le monde du handicap
Auteur collectif : Les arTpenteurs
Jean-Baptiste Cabaud : poèmes (commande d’écriture)
Laurence Loutre-Barbier : photographies et textes
Annie Lebard : poèmes-affiches et arts plastiques
Brigitte Baumié : poèmes des participant.e.s
Élisabeth Granjon : poèmes des participant.e.s
Bernard Gros : dessins croquant les participant.e.s
Patrice Vandamme : direction artistique
Les participant.e.s du SAJ pôle ouvert Odynéo :
Sylviane, Éliane, Joëlle, Sandrine, Camille, Anna, Souad, Muriel, Isabelle, Jessica, Dominique, Élisabeth, Delphine, Réjane, Catherine, Thierry A. Cyrille, Maxime, Alain, Samson, Ahkim, Florent, Gaëtan, Filinto, Kévin, Thierry P., Michel, Jean-Philippe, Loïc, Denis.
Avec l’aide de l’équipe éducative du SAJ :
Karine, Bernard, Isabelle, Amandine, Sébastien, Cyril, Sabine, Malika, Patricia
éditions La passe du vent, novembre 2020.
112 pages, 20 x 21 cm
12€
Pendant trois saisons, de 2017 à 2020, la compagnie Les arTpenteurs a mené la résidence artistique « Être poème » au Service d’accueil de jour du Pôle ouvert d’Odynéo, à écully / La Duchère. « Être poème », pour placer les personnes en situation de handicap au coeur du processus artistique, avec la poésie sous toutes ses formes comme médiatrice de l’âme.
Les poèmes de Jean-Baptiste Cabaud donnent à voir et entendre des personnes en situation de handicap. Sont évoqués ceux qui parlent et ceux qui ne parlent pas, le corps et le cœur, le quotidien et la vie collective, les goûts et plaisirs essentiels. L’humanité tout simplement.
Une étrange famille humaine interroge la condition humaine de personnes vivant avec le handicap et amène à poser un autre regard sur la différence et le handicap.
«On se dit
Jean-Baptiste Cabaud
Vie valide
Vie valide…
Mais qu’est-ce qui aux yeux du monde
Valide ma vie plutôt que la tienne ?»
En partenariat avec le SAJ Pôle Ouvert Odynéo d’écully dans le cadre du projet Culture et Santé « Être poème » et l’espace Pandora. Avec le soutien de la DRAC, de l’ARS, de la région Auvergne-Rhône-Alpes, de l’association interSTICES et de la Ville de Lyon.